Union des Cercles Légitimistes de France (UCLF) : Différence entre versions
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|valign="top" align="left"|Création de l'[[Association Générale des Légitimistes de France (AGLF)]]. Publication: ''La Gazette Royale'' (1957-1962). | |valign="top" align="left"|Création de l'[[Association Générale des Légitimistes de France (AGLF)]]. Publication: ''La Gazette Royale'' (1957-1962). | ||
Premier organigramme: | Premier organigramme: | ||
− | * président: Marie de Tassin de Tassin | + | * président: Marie de Tassin de Tassin<ref>Puis Édouard de Roquefeuil-Anduze puis Pierre Tollé.</ref> |
* secrétaire général: Gérard Saclier de La Batie | * secrétaire général: Gérard Saclier de La Batie | ||
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Version du 22 juillet 2019 à 14:43
Période | 1957-... | ||
Nom | 1979 1957 |
Union des Cercles Légitimistes de France (UCLF) Association Générale des Légitimistes de France (AGLF) | |
Positionnement | Extrême droite | ||
Idéologie | Royalisme | ||
Coalition électorale | |||
Affiliation internationale | |||
Affiliation européenne | |||
Parlement européen | |||
Site Internet |
Chronologie
Date | Évènement |
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1979 ??/?? |
L'Association Générale des Légitimistes de France (AGLF) devient l'Union des Cercles Légitimistes de France (UCLF): Gérard Saclier de La Bâtie. Publication: Lettre circulaire - Union des cercles légitimistes de France puis (1983) La Gazette Royale. |
1973 15/05 |
Création de l'Institut de la Maison de Bourbon (IMB)[1]: Jacques de Bauffremont, Jean-Héracle de Polignac, Hervé Pinoteau, Pierre de la Forest Divonne, Patrick Esclafer de La Rode, Armel Girard-Lamaury. |
1971 09/05 |
Organisation par Patrick Esclafer de La Rode d'une réunion politique légitimiste au château de Nadelin à Bonnes (Charente).[2] |
1962 30/06 |
Création d'un secrétariat du prétendant légitimiste (Hervé Pinoteau, Pierre de la Forest Divonne).[2] |
1957 05/03 |
Création de l'Association Générale des Légitimistes de France (AGLF). Publication: La Gazette Royale (1957-1962).
Premier organigramme:
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- ↑ Reconnu d'utilité publique le 23 avril 1997.
- ↑ 2,0 et 2,1 Hervé Pinoteau, "Le Prince que j'ai servi", Fidelis, n°1, hiver 1989-1990, pp. 8-16.
- ↑ Puis Édouard de Roquefeuil-Anduze puis Pierre Tollé.
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