Cercle du Panthéon (CP) : Différence entre versions

De France Politique
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|valign="top" align="left"|Enregistrement de la SARL Presse Édition du XXe siècle. Siège social: 10, rue Quincampoix 75004<ref>Le 10, rue Quincampoix 75004 est la "''maison de la droite''" de Jean-Marie Le Pen, qui faisait "''à la fois office de salle de sport, de restaurant et de lieu de réunion''" (Francis Bergeron et Philippe Vilgier, ''De Le Pen à Le Pen. Une histoire des nationaux et des nationalistes sous la Ve République'', éd. Dominique Martin Morin, 1986). Il s'agit d'un "''vieil hôtel particulier à l'orée des Halles, encore en activité à l'époque''": "''Les Jeunesses tixiéristes fréquentent le premier niveau, où Roger Holeindre monte un bar avec d'anciennes cantines militaires, auquel il adjoindra un restaurant en septembre 1965. Le Pen et les siens aménagent l'étage du haut avec une salle de réunion et une salle de sport équipée d'appareils de musculation où l'on s’entraîne au close-combat. Il y a en sous-sol une superbe cave de pierre voûtée, ancienne mûrisserie de bananes.''" (Gilles Bresson et Christian Lionet, ''Le Pen. Biographie'', Seuil, 1994).</ref>.
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|valign="top" align="left"|Enregistrement de la SARL Presse Édition du XXe siècle. Gérant: Jean-Marie Le Pen. Siège social: 10, rue Quincampoix 75004<ref>Le 10, rue Quincampoix 75004 est la "''maison de la droite''" de Jean-Marie Le Pen, qui faisait "''à la fois office de salle de sport, de restaurant et de lieu de réunion''" (Francis Bergeron et Philippe Vilgier, ''De Le Pen à Le Pen. Une histoire des nationaux et des nationalistes sous la Ve République'', éd. Dominique Martin Morin, 1986). Il s'agit d'un "''vieil hôtel particulier à l'orée des Halles, encore en activité à l'époque''": "''Les Jeunesses tixiéristes fréquentent le premier niveau, où Roger Holeindre monte un bar avec d'anciennes cantines militaires, auquel il adjoindra un restaurant en septembre 1965. Le Pen et les siens aménagent l'étage du haut avec une salle de réunion et une salle de sport équipée d'appareils de musculation où l'on s’entraîne au close-combat. Il y a en sous-sol une superbe cave de pierre voûtée, ancienne mûrisserie de bananes.''" (Gilles Bresson et Christian Lionet, ''Le Pen. Biographie'', Seuil, 1994).</ref>.
 
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Version du 11 février 2018 à 15:48

Période 1959-1972
Nom Cercle du Panthéon (CP)
Positionnement Extrême droite
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1968
23-30/06
Élections législatives 1968: Jean-Marie Le Pen battu sous l'étiquette "Candidat national indépendant d'union centriste"[1].
1966
23/01
Congrès national des Comités TV; départs de Jean-Marie Le Pen, Roger Holeindre, François Brigneau, Dominique Venner...
1965
05-19/05
Élection présidentielle de 1965: Jean-Marie Le Pen directeur de campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour (5,20% des suffrages exprimés).
1965
14/04
Enregistrement de la SARL Presse Édition du XXe siècle. Gérant: Jean-Marie Le Pen. Siège social: 10, rue Quincampoix 75004[2].
1963
15/02
Enregistrement de la SARL Société d'études et de relations publiques (SERP). Gérant: Jean-Marie Le Pen. Siège social: 6, rue de Beaune 75007.
1962
18-25/11
Élections législatives 1962: Jean-Marie Le Pen battu sous l'étiquette "CNIP et Centre Républicain"[3].
1960
27/07
Jean-Marie Le Pen participe à la création du Front National pour l'Algérie Française (FNAF).
1959
03/06
Déclaration à la préfecture de police de Paris du Cercle du Panthéon. Objet: "Intéresser les citoyens à la marche politique de leur pays et défendre les intérêts sociaux et politiques des électeurs". Siège social: 9, villa Poirier 75015 (domicile de Jean-Marie Le Pen) puis (29/12/1962) 6, rue de Beaune 75007. Fondateur: Jean-Marie Le Pen, vice-président du Front National Combattant (FNC).
1958
23-30/11
Élections législatives 1958:
  • Jean-Marie Le Pen réélu sous l'étiquette "Indépendants de Paris" (fédération parisienne autonome du CNIP dirigée par Édouard Frédéric-Dupont)[4]
  • Jean Demarquet battu sous l'étiquette "Républicain d'Union Nationale"
1957
14/08
Jean-Maurice Demarquet et Jean-Marie Le Pen participent à la création du Front National des Combattants (FNC) puis (20/06/1959) Front National Combattant (FNC). Siège social: 9, villa Poirier 75015 (domicile de Jean-Marie Le Pen).
1957
18/06
Jean-Maurice Demarquet et Jean-Marie Le Pen quittent le Groupe d'Union et Fraternité Française (UFF).
1957
30/04
-02/05
Congrès de l'UDCA: exclusion "à vie" de Jean-Maurice Demarquet et Jean-Marie Le Pen.
1957
11/01
Jean-Maurice Demarquet démissionne de l'UDCA et rejoint avec Jean-Marie Le Pen le Mouvement National d'Action Civique et Sociale (MNACS) dissident de Louis Alloin.
1956
04/10
L'Assemblée nationale accorde aux députés poujadistes Jean-Maurice Demarquet et Jean-Marie Le Pen l'autorisation de servir six mois en Algérie.


Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr
  1. Suppléant: Antoine Lorcy.
  2. Le 10, rue Quincampoix 75004 est la "maison de la droite" de Jean-Marie Le Pen, qui faisait "à la fois office de salle de sport, de restaurant et de lieu de réunion" (Francis Bergeron et Philippe Vilgier, De Le Pen à Le Pen. Une histoire des nationaux et des nationalistes sous la Ve République, éd. Dominique Martin Morin, 1986). Il s'agit d'un "vieil hôtel particulier à l'orée des Halles, encore en activité à l'époque": "Les Jeunesses tixiéristes fréquentent le premier niveau, où Roger Holeindre monte un bar avec d'anciennes cantines militaires, auquel il adjoindra un restaurant en septembre 1965. Le Pen et les siens aménagent l'étage du haut avec une salle de réunion et une salle de sport équipée d'appareils de musculation où l'on s’entraîne au close-combat. Il y a en sous-sol une superbe cave de pierre voûtée, ancienne mûrisserie de bananes." (Gilles Bresson et Christian Lionet, Le Pen. Biographie, Seuil, 1994).
  3. Suppléant: Pierre-Émile Menuet (ex-PSF puis Parti Républicain et Social de la Réconciliation Française), conseiller municipal CNIP de Paris depuis 1959.
  4. Suppléant: Pierre-Émile Menuet (CNIP, ex-PSF puis Parti Républicain et Social de la Réconciliation Française), membre du Front National des Combattants (FNC).