Union Calédonienne (UC)

De France Politique
Période 1953-...
Nom Union Calédonienne (UC)
Positionnement Gauche
Idéologie Autonomisme puis (1977/1978) indépendantisme calédonien
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
2017
10-13/11 		48e congrès. Élection pour la présidence:
  • 134 voix Daniel Goa
  • 33 voix Christian Téin
  • 27 voix Gilbert Tyuienon
2017
30/08 		Représenté par trois membres au nouveau gouvernement:
  • Gilbert Tuyienon (FLNKS-UC)
  • Jean-Louis Danglebermes (FLNKS-UC)
  • Didier Poadyaliwane (FLNKS-UC)
2012
16-18/11 		43e congrès. Daniel Goa élu président.
2012
11/09 		Décès de Charles Pidjot.
2007
01-04/11 		38e congrès. Charles Pidjot élu président.
2004
26/06 		Exclusion de Jacques Lalié, qui conduit aux élections territoriales une liste dissidente UC Renouveau.
1989
04/05 		Assassinats de Jean-Marie Tjibaou et Yeiwéné Yeiwéné par Djubelly Wea (militant du FULK, opposé aux Accords de Matignon).
1988
26/06 		Signature des Accords de Matignon. Pour le FLNKS:
  • Jean-Marie Tjibaou (UC), président du FLNKS
  • Yeiwéné Yeiwéné (UC)
  • Caroline Machoro (UC)
  • Edmond Nékiriaï (UPM)
1984
22-24/09 		Participe à la création du FLNKS.
1979
04/06 		Participe à la création du Front Indépendantiste (FI) en vue des élections territoriales.
1978
03-04/06 		Congrès à Maré: l'indépendance devient la première revendication.
1977
21-22/05 		Congrès à Bourail: l'autonomisme devient une étape vers l'indépendance (Jean-Marie Tjibaou, Éloi Machoro, Roch Pidjot, Maurice Lenormand). Scission des autonomistes anti-indépendantistes:
1971
15/12 		Propose la création d'un Front calédonien pour l'autonomie.
1971
19/08 		Scission de l'aile droite caldoche, qui fonde le Mouvement Libéral Calédonien (MLC): Jean Lèques, Armand Ohlen, Georges Nagle, Max Frouin.
1971
12/07 		Rejet par l'assemblée territoriale de la Nouvelle-Calédonie de la motion d'autonomie présentée par l'UC[1]. L'aile droite caldoche vote contre.
1970
30-31/01 		Congrès de l'Union Calédonienne (UC). Maurice Lenormad revient commissaire général du parti.
1970
10/12 		Scission de l'aile gauche mélanésienne, qui fonde l'Union Multiraciale de Nouvelle-Calédonie (UMNC): Yann Céléné Uregei.
1967
05-12/03 		Élection législative de 1967:
  • 57,27% des suffrages exprimés pour Roch Pidjot - suppléant: Georges Nagle (Union Calédonienne)
  • 33,61% des suffrages exprimés pour Georges Chatenay (UNR) - suppléant: Kiolet Néa Galet (Action Calédonienne dissident)
  • 9,11% des suffrages exprimés pour le docteur Edmond Caillard - Doui Matayo Wetta (Action Calédonienne)
1964
07/06 		Élection législative partielle:
  • 54,31% des suffrages exprimés pour Roch Pidjot (Union Calédonienne), élu - suppléant: Georges Nagle
  • 43,65% des suffrages exprimés pour Édouard Pentecost (Entente)
  • 02,04% des suffrages exprimés pour Pierre-Hubert Jeanson (divers gauche)
1964
17/03 		Maurice Lenormand déchu de son mandat de député (condamnation pénale). Il quittera l'Assemblée territoriale le 21/03/1964.
1962
18-25/11 		Élection législative de 1962:
  • 55,44% des suffrages exprimés pour Maurice Lenormand (Union Calédonienne), élu
  • 44,56% des suffrages exprimés pour Édouard Pentecost (Entente)
1958
30/10 		Décret de dissolution de l'assemblée territoriale de Nouvelle-Calédonie.
1957
31/08
-0109 		Congrès de l'Union Calédonienne (UC). Conflit entre Maurice Lenormand et Louis Eschenbrenner, qui fondera l'Union Rurale Calédonienne (URC).
1956
12-13/05 		Congrès constitutif de l'Union Calédonienne (UC). Bureau:
  • Roch Pidjot, président
  • Armand Ohlen, vice-président
  • Doui Matayo Wetta, vice-président
  • Maurice Lenormand, commissaire général
  • Michel Bernast, secrétaire général
  • Gabriel Mussot, délégué général
  • Louis Eschenbrenner, trésorier général
  • Mathieu Aripoindi
  • Raphaël Bouanaoué
  • Pascal Delathière
  • James Haeweng
  • Michel Kauma
1955
19/06 		Élections sénatoriales:
  • 14 voix Armand Ohlen (Union Calédonienne), élu
  • 10 voix Henri Lafleur (L'Union, sortant)
  • 1 abstention
1954
19/12 		Élection territoriale partielle[2]:
  • 4,24% Pascal Delathière (Union Calédonienne), élu
  • 45,76% Marcel Bordes (L'Union[3])
1954
12/09 		Élection territoriale partielle[4]:
  • 45,28% Armand Ohlen (Union Calédonienne), élu
  • 37,14% Roger Rolland (L'Union)
  • Andrée Collard (L'Union dissident)
  • Florindo Paladini (Progrès Social)
1953
08/02 		Élections territoriales de 1953 en Nouvelle-Calédonie: les listes d'Union Calédonienne obtiennent 15 sièges (dont 1 apparenté: Marc Tivollier de la liste d'Action Républicaine, Démocratique et Sociale) sur 25.
1951
17/06 		Élections législatives de 1951:
  • 36,90% des suffrages exprimés pour Maurice Lenormand[5] (fondera l'Union Calédonienne), élu
  • 30,84% des suffrages exprimés pour Roger Gervolino
  • 16,49% des suffrages exprimés pour Paul Métadier (RPF)
  • 15,77% des suffrages exprimés pour Florindo Paladini (Progrès Social)


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  1. ↑ Rejet également de la motion d'autonomie présentée par l'Union Multiraciale de Nouvelle-Calédonie (UMNC).
  2. ↑ Décès de Pierre Bergès (Union Calédonienne) le 02/11/1954.
  3. ↑ Cf. Groupement des Paysans Calédoniens (GPC).
  4. ↑ Démission du colonel Maurice Bichon (L'Union) le 24/06/1954.
  5. ↑ Soutenu par l'Union des Indigènes Calédoniens Amis de la Liberté dans l’Ordre (UICALO, d'inspiration catholique) et l'Association des Indigènes Calédoniens et Loyaltiens Français (AICLF, d'inspiration protestante).
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